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Baume Sébastopol JCM 7 Articulations

Baume Sébastopol JCM 7 Articulations

Le baume de Sébastopol JCM7 formule naturelle est sans sel, sans sucre, sans lactose, sans gluten et sans produits d’origine animale.

Il est sans paraben et sans PEG.

Ce baume est formulé de manière à pénétrer rapidement, sans tâcher.

Elle ne graisse pas et ne colle pas.

Conseil d’utilisation : Deux pressions sur le flacons (une noix), deux fois par jour à appliquer et faire pénétrer sur la zone concernée, vous apporteront pleine satisfaction.

Ce produit n'est plus disponible.

Description

Détails

Recommandée pour : Vos muscles, tendons et articulations

La crème JCM7 est composée de sept huiles essentielles (pin, lavande, niaouli, gaultherie, helichryse, encens et gingembre) qui de par leur synergie apporte une aisance, une mobilité qui permet de bouger sans retenue, sans entrave pénible.

Le baume de Sébastopol JCM7 est le fruit de l’évolution du baume de Sébastopol n°2 qui a vu le jour en 1958.

Crée par Jean Raillon , mon grand-père, cette pommade à base d’huiles essentielles de pin et de lavande a apporté un énorme soulagement pendant 40ans a des milliers de personnes.

Cette pommade existait aussi en version huile de massage, l’onguent provençal, qui avait vu la recette de base agrémentée de deux autres huiles essentielles, le niaouli et la gaulthérie.

Le baume de Sébastopol JCM7 formule naturelle est sans sel, sans sucre, sans lactose, sans gluten et sans produits d’origine animale.

Il est sans paraben et sans PEG.

Ce baume est formulé de manière à pénétrer rapidement, sans tâcher.

Elle ne graisse pas et ne colle pas.

Conseil d’utilisation : Deux pressions sur le flacons (une noix), deux fois par jour à appliquer et faire pénétrer sur la zone concernée, vous apporteront pleine satisfaction.

Contenance : 130 ml

Ingredients : Aqua, Abies Sibirica Oil, Melaleuca Viridiflora Leaf Oil, Bentonite, Glycerin, Polyglyceryl-4 Caprylate, Lavandula Hybrida Grosso Herb Oil, Gaultheria Fragrantissima Leaf Oil, Limonene, Dicaprylyl Ether, Lauryl Glucoside, Polyglyceryl-2 Dipolyhydroxystearate, Linalool, Algin, Sodium Lauroyl Glutamate, Xanthan Gum, Decyl Glucoside, Diglycerin, Alcohol, Helichrysum Italicum Flower Oil, Salicylic Acid, Boswellia Carterii Oil, Zingiber Officinale Root Extract, Geraniol, Citric Acid, Eugenol, Coumarin, Tocopherol.

Huile essentielle de lavande et de pin sylvestre, cire d’abeille, graisse végétale, huile de cade, voilà la base de la composition de la crème gitane. qu'on utilisait pendant la guerre de Crimée pour soigner les chevaux blessés. Ce baume existe encore, c'est le baume de Sébastopol.

Saviez-vous que Charlie Chaplin, John Fitzgerald Kennedy et Maurice Chevalier souffraient de douleurs affreuses qui leur ont rendu la vie odieuse ?

Charlot avait de l’eczéma ce qui le rendait fou, et pendant des années il a porté des gants blancs pour cacher sa maladie. JFK souffrait atrocement du dos au point de ne pouvoir bouger ni se lever pendant des journées entières et Maurice Chevalier avait des crampes intestinales insupportables. Tous souffraient de maux différents, mais ils utilisaient tous le même produit pour se soigner : le baume de Sébastopol.

Le baume des gitans

Tout a commencé pendant le siège de Sébastopol, pendant la guerre de Crimée en 1855. Un soldat, du nom de Mathieu Bernard, aussi maréchal-ferrant dans sa vie civile, sauve la vie d’un ami officier-vétérinaire. Pour le remercier, celui-ci donne à Mathieu Bernard la composition d’un baume miraculeux qu’utilisent les Gitans et avec lequel il soigne les chevaux de l’armée de Napoléon III. « Tu verras, lui dit son ami vétérinaire, avec cette pommade, tu pourras soigner tous les chevaux de la région ! ».

Mathieu Bernard, repart en Provence après la guerre et reprend son travail de maréchal-ferrant. Et, parce que dans sa région on trouve tous les ingrédients pour la fabriquer, il se met à préparer la fameuse pommade lui-même. Il utilise la formule donnée par l’officier pour fabriquer un baume avec lequel il soigne les chevaux malades.

Les plaies cicatrisent en quelques jours

Huile essentielle de lavande et de pin sylvestre, cire d’abeille, graisse végétale, huile de cade, voilà la base de la composition de la crème gitane. Mais la recette est plus complexe que cela et tout est dans les proportions.

Toujours est-il que les blessures des chevaux cicatrisent en quelques jours. Mathieu Bernard, convaincu de l’effet bénéfique de son baume, le propose un jour à un client qui souffre d’une plaie purulente. Un mois plus tard, la plaie est guérie. Les essais suivants sur d’autres volontaires atteints d’eczéma, de psoriasis et de douleurs rhumatismales sont concluants. Mathieu Bernard fait donc profiter son entourage de son baume gitan et les guérisons se multiplient. Pendant deux générations, la recette du baume est précieusement conservée et utilisée pour la famille, les amis et l’entourage de la famille.

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« Œuvrer pour le bien de l’humanité »

C’est Jean Raillon, qui n’est autre que le petit fils de Mathieu Bernard, qui se lance en 1958 dans la commercialisation du baume qui prend alors le nom de ses origines : « Le baume de Sébastopol ».

Autour de Jean, ils sont de plus en plus nombreux à réclamer du baume et à envoyer des témoignages de satisfaction. Le produit passe de main en main jusqu’à ce jour de 1959, où le journal « Point de Vue images du Monde » fait un article sur les bienfaits du baume. La demande explose ! On en réclame à Jean, encore et encore. Et lorsqu’un utilisateur satisfait de la pommade déclare : « Si j’étais vous, avec un produit comme celui-ci, j’œuvrerais pour le bien l’humanité », Jean Raillon a un déclic. Il va proposer à tous son baume gitan. Il entame alors la fabrication, en plus grandes quantités, du baume de Sébastopol.

Une formule améliorée de génération en génération

Au début de cette incroyable aventure, la famille fabrique le baume dans la cuisine de l’appartement de façon très artisanale et la recette de Mathieu Bernard est scrupuleusement suivie.

Les premiers petits pots de crème sortent de la cuisine et commencent à se vendre. Jean Raillon est un passionné de plantes médicinales et il décide d’améliorer la formule en faisant des recherches sur les plantes et en compulsant les ouvrages de médecine. Il s’initie avec un cousin médecin et se rend compte qu’il peut agrandir le domaine d’action du baume. Il souhaite proposer sa pommade sous des formes plus diverses et pour des soins plus ciblés. Ainsi, en mettant moins d’huile de cade que dans la version d’origine, Jean Raillon découvre que son baume devient très efficace sur l’eczéma, alors qu’à l’origine, la pommade gitane agissait sur le psoriasis ou les dermatoses importantes.

Un baume légitimé par des résultats scientifiques

Pour éviter la critique, Jean Raillon décide de demander à des « pointures » du milieu scientifique, d’avaliser les vertus de ses crèmes. Il se tourne vers Jean Valnet, qui dans les années soixante était considéré comme le pape de la phytothérapie et de l’aromathérapie, et lui soumet ses produits. Il demande également au Professeur Giorgo Falchi, une sommité en matière de dermatologie, de bien vouloir faire une étude sur ses crèmes.

Les conclusions furent les suivantes :

Les résultats sur les malades traités pour l’eczéma, l’asthme, la sinusite sont excellents.

La crème est parfaitement tolérée par la peau, saine ou malade.

Son action anti-inflammatoire est démontrée.

Elle a aussi une action rapide et efficace sur les lésions et les plaies.

Les autorités ont fait barrage au baume de Sébastopol

Fort de ces conclusions, Jean Raillon décida de monter un dossier afin que son baume puisse être distribué en pharmacie. Son dossier fut rejeté. On lui refusa aussi sa demande de brevet d’invention pour un produit pharmaceutique sous prétexte que les ingrédients contenus dans ses pommades étaient déjà répertoriés et ne pouvaient donc faire l’objet d’un brevet.

Le baume a failli disparaître à jamais

Pourtant, le succès du baume de Sébastopol ne faisait que s'étendre et cela finit par déplaire au lobby pharmaceutique... et les ennuis commencèrent. En 2009, cela se finit au tribunal, l’Afssaps parle de « poison » et la chasse aux sorcières commence. Le petit fils de Jean Raillon pense définitivement abandonner le baume de son grand-père. Mais c’est finalement en faisant considérer le baume non comme un produit de pharmacie, mais comme un cosmétique que Jean Christophe Mandrou peut se remettre à le commercialiser en toute légalité. La guerre est gagnée ! Aujourd’hui, Jean Christophe Mandrou, petit-fils de Jean Raillon, supervise toujours la fabrication du baume gitan.

Il faut lire entre les lignes

Mais, puisque légalement Jean Christophe Mandrou ne peux plus mettre ostensiblement les vertus médicinales de ses produits, comment savoir à quoi chaque crème correspond et ce qu’elle traite ? Ce n’est pas facile à trouver et c’est un peu confus parfois sur le Net. J'ai donc demandé à Jean-Christophe Mandrou de me le dire. Et, sans lui demander son accord, je vous le répète.

Allez, je vous explique tout

Pour se souvenir facilement de l’action spécifique de chaque crème, Jean Raillon avait numéroté ses produits.

La crème numéro 1 était contre l’eczéma.

La crème numéro 2 apaisait les douleurs articulaires.

La crème numéro 3 luttait contre le psoriasis

etc...

Malheureusement, de l'ancienne gamme il ne reste plus que le baume n°2 qui soulage l’arthrose, l’arthrite, les douleurs menstruelles et les séquelles de zona (voir le carnet d'adresse).

Le n°7 qui traitait l’eczéma ou le psoriasis n'est plus fabriqué pour l'instant. Les autres ont disparu en raison des contraintes réglementaires qui pesaient sur eux.

D'autres produits existent chez Jean Raillon fabriqués avec le même soin comme l’onguent provençal qui estompe rapidement la gêne causée par les tendinites et les douleurs musculaires ou encore un gel qui soulage très rapidement les douleurs de crise de goutte...

Evidemment, vous ne connaissez pas l'entreprise Jean Raillon, mais quand j'apprends à la veille de faire publier cet article, que le site de la société est en travaux, je ne suis pas étonnée.

Jean Christophe Mandrou continue à commercialiser ses crèmes avec le même esprit philanthropique que ses aïeux, il y a en lui un réel désir de faire du bien à son prochain et il a su me toucher par son désir de ne pas se soumettre à la folie de la société de consommation pour continuer à fabriquer son produit simplement et à le commercialiser honnêtement et avec sincérité, seulement parce que les autres en ont besoin.

Et pour en savoir plus, lisez l'article "le baume de Sébastopol" sur Plantes & Santé.

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Pendant la guerre de Crimée, un maréchal-ferrant provençal se voit confier la recette d'un mystérieux baume. D'abord destiné à soigner les animaux, ce remède se révèle efficace pour les hommes, et convaincra même des célébrités comme Charlie Chaplin !

Ce baume aux huiles essentielles trouve son origine en 1855, au cours du siège de Sébastopol dont il gardera le nom. La guerre de Crimée fait rage et la ville ukrainienne est assiégée depuis des mois par les troupes alliées. Mathieu Bernard, maréchal-ferrant dans le civil et simple soldat dans les zouaves, sauve la vie d’un capitaine vétérinaire. Pour le remercier, ce dernier lui donne la formule d’un baume aux vertus « miraculeuses », utilisé par les Gitans, qu’il utilise pour soigner les chevaux de l’armée de Napoléon III.

De retour dans sa Provence natale, Mathieu Bernard reprend le marteau et l’enclume. Il n’a pas oublié la fameuse pommade et trouve aisément tous les ingrédients dans sa région : graisse végétale, cire d’abeille, huile de cade, huile essentielle de lavande et de pin sylvestre. Ses premiers essais sur les chevaux qu’il ferre donnent de très bons résultats : les blessures cicatrisent en quelques jours. Quand un de ses clients, atteint d’une plaie purulente, décide de l’essayer sur lui-même, il revient guéri un mois plus tard. Mathieu Bernard découvre alors au fil de ses expérimentations que, outre ses vertus cicatrisantes, le baume est également efficace contre l’eczéma, le psoriasis et les douleurs rhumatismales. Il en fait profiter ses amis et voisins sans autre contrepartie que quelques oeufs ou un lapin, offerts de temps en temps en remerciement d’une guérison. Le baume, préparé par sa femme et sa fille dans la cuisine de la maison familiale, est connu dans toute la région.

Ce n’est qu’en 1958 que Jean Raillon, petit-fils de Mathieu Bernard, décide de commercialiser le baume. Passionné par les plantes médicinales, il améliore la recette qu’il décline en plusieurs pommades, pour la peau, le corps, les jambes ou le cuir chevelu. Les pommades Raillon commencent dès lors à faire parler d’elles. Des personnalités comme Charlie Chaplin pour son eczéma, le chanteur Ivan Rebroff pour ses cordes vocales, Maurice Chevalier pour ses crampes intestinales, le cycliste Louison Bobet pour des foulures, sans oublier, John F. Kennedy qui souffrait de la colonne vertébrale, utilisent le baume de Sébastopol. Aujourd’hui, c’est le petit-fils de Jean Raillon, Jean-Christophe Mandrou, qui continue de fabriquer ces produits dans son petit laboratoire de la Côte d’Azur.

Les affections soulagées par le baume

Aujourd’hui, le baume de Sébastopol est décliné, à partir de la formule de base, sous forme de cures spécifiques contre : psoriasis, eczéma, rhumatisme, arthrite, asthme, sinusite, rhinite, arthrose, herpès, hémorroïdes... Les résultats sont moins spectaculaires dans le cas de maladies délicates comme, par exemple, les ulcères variqueux, et si le malade s’alimente mal, a une mauvaise hygiène de vie ou ne respecte pas correctement le mode d’emploi du baume.

Les baumes élaborés par Jean Raillon ont été adoptés par plusieurs médecins de renom. Le Dr Jean Valnet, grand maître de l’aromathérapie, mena sa propre étude. Sur 36 patients, il obtint 7 guérisons sur 10 pour les rhumatismes, 2 sur 3 pour l’eczéma, 7 sur 9 pour l’asthme et 12 sur 14 pour la sinusite. Il conclut : « Le bilan est tout à fait satisfaisant même si l’expérience a été menée sur un nombre restreint de personnes. » Le professeur, Giorgio Falchi, directeur de la clinique dermatologique universitaire de Pavie, expérimenta également la pommade sur des patients atteints d’eczéma, de psoriasis ou d’érythème, et se montra enthousiaste : « Nous devons conclure favorablement sur l’action thérapeutique de la pommade Raillon… son efficacité est notable et les tissus cutanés la tolèrent parfaitement. »

Article extrait de notre hors-série sur les Remèdes d'autrefois